Auteur : Matthew J. Costello.
Roman : La chose des profondeurs
Date de publication : Septembre 1994
Genre : Fantastique
Nombre de pages : 368.
Résumé de quatrième de couverture :
Cela fait un drôle d'effet de s'apercevoir soudain que l'on appartient à une espèce en voie d'extinction...
- On
sait que l'on a récemment découvert au fond des océans, près de sources
volcaniques,
des formes de vie inconnues.
Une mission océanographique
commet l'erreur de vouloir ramener à la surface l'un des étranges
vers
qui ont élu domicile dans ces gouffres sous-marins.
Lorsque
l'on retrouve le bateau, tous les passagers, sauf un, sont morts comme
dévorés de l'intérieur. Les sauveteurs ne se méfient pas de l'unique
survivant, ne se doutent pas que lui aussi est mort,
Chronique :
Ajoutez une quantité d'eaux salées de "Moby Dick", ainsi que des
nombreuses bestioles rampantes, gluantes et répugnantes qui ont du
mordant de "Les dents de la mer",
qui jaillissent de vos poitrines à la
façon des "Aliens" et ça donne un ensemble de résultat
très appétissant, un
bon goût de l'horreur croustillant qui se nomme : "La chose des
profondeurs" !
C'est ma toute première découverte et également, première lecture avec cet auteur,
C'est ma toute première découverte et également, première lecture avec cet auteur,
Matthew J. Costello.
L'auteur possède un style clair, net et précis en nous offrant un spectacle qui fait froid dans le dos.
L'intrigue est rondement bien menée, très énergique que les chapitres se succèdent à un
L'auteur possède un style clair, net et précis en nous offrant un spectacle qui fait froid dans le dos.
L'intrigue est rondement bien menée, très énergique que les chapitres se succèdent à un
rythme effréné sans laisser le moindre répit au lecteur.
La frayeur est palpable au fur et à mesure qu'on progresse dans le récit en compagnie
La frayeur est palpable au fur et à mesure qu'on progresse dans le récit en compagnie
des personnages hauts en couleur.
Les vers s'emparent des esprits et des âmes de tous ceux et celles qui entrent en contact avec eux et
Les vers s'emparent des esprits et des âmes de tous ceux et celles qui entrent en contact avec eux et
se propagent de manière exponentielle.
Matthew J. Costello ne fait aucune concession et s'amuse avec brio à jouer avec nos nerfs via
Matthew J. Costello ne fait aucune concession et s'amuse avec brio à jouer avec nos nerfs via
sa plume démentielle.
Les descriptions et les mises en situation évoquent une imagerie visuelle époustouflante.
La tension est omniprésente et les passages cauchemardesques se déplacent à une
Les descriptions et les mises en situation évoquent une imagerie visuelle époustouflante.
La tension est omniprésente et les passages cauchemardesques se déplacent à une
allure endiablée jusqu'à la touche finale haletante.
Une oeuvre horrifique de bonne facture et d'une admirable qualité, de quoi vous faire frémir !
En revanche, elle est conseillée aux anthelmophobes de s'abstenir !
Pour conclure, le romancier Matthew J. Costello est le Jules Verne de l'Horreur.
Puis en tant que lecteur, c'était un grand et bel honneur de découvrir la prose virtuose de ce conteur.
"La chose des profondeurs" est un succulent roman d'horreur bien juteux, trash et si délicieux
Une oeuvre horrifique de bonne facture et d'une admirable qualité, de quoi vous faire frémir !
En revanche, elle est conseillée aux anthelmophobes de s'abstenir !
Pour conclure, le romancier Matthew J. Costello est le Jules Verne de l'Horreur.
Puis en tant que lecteur, c'était un grand et bel honneur de découvrir la prose virtuose de ce conteur.
"La chose des profondeurs" est un succulent roman d'horreur bien juteux, trash et si délicieux
d'un auteur injustement méconnu mais Ô combien talentueux que je recommande à tous les
amateurs de science-fiction et de terreur !
Angoisses et frissons garantis !
Angoisses et frissons garantis !
Citation : "Nous
venons de l'océan. Tous les animaux terrestres ont évolué à partir
des premiers animaux marins. En chemin, nous nous sommes débarrassées
de certaines caractéristiques qui n'étaient plus utiles à notre survie.
Nous sommes constitués de soixante-dix pour cent d'eau, nous portons en
nous un océan salin. Toutefois, des dizaines de millions d'années de
sélection naturelle avaient modifié cet océan, transformé ce que nous
véhiculions dans nos veines."