Une fois que la menace inquiétante entre dans votre intimité, rien ne sera plus comme avant.
Auteur : David Martin.
Roman : Tap-Tap (précédemment paru sous le titre "Meurtres à domicile")
Date de publication : Avril 1997
Genre : Fantastique
Nombre de pages : 320.
Résumé de quatrième de couverture :
- Tap... Tap... Qui pouvait bien venir nous voir à
une heure pareille ? Marianne travaillait là-haut. J'allai donc ouvrir.
Peter ! Jamais je n'aurais pensé à Peter.
Et pourtant c'était lui,
quatorze ans plus tard !
« Salut,
Roscoe », me dit-il. Mais son sourire était glacial. Après les banalités
d'usage,
il me parla de notre vieux rêve. Le tour du monde en
voilier...
Surgi du passé comme un
diable de sa boîte, le copain de jeunesse de Roscoe a retrouvé sa trace.
Peter, le complice des années où l'on a la vie devant soi, où l'on
croit que tout est possible...
Ce
qu'ignore Roscoe, c'est que Peter a mis en marche une spirale infernale
pour l'obliger à le suivre, coûte que coûte. Le suivre jusqu'où ? Au
bout du monde, une fois encore ? Ou au bout de la folie ?
Bientôt,
tous leurs anciens amis refont surface, les uns après les autres.
Sous
la forme de cadavres atrocement mutilés. Et Roscoe est le suspect n°1...
Chronique :
♪ "Et tu happes, happes, happes ce bouquin qui te plaît !
Et tu tapes, "TAP-TAP", c'est ta façon d'rythmer !
Ce livre qui t'entraîne jusqu'au bout de l'horreur !
Réveille en toi une addiction d'un "BOUH" de terreeeuuur !" ♫
Eeeuuur... eeeuuur... eeeuuur... [disque rayé - EJECT]
Trêve de plaisanterie, quoi que non, puisque je l'ai tout de même terminé en... Début de Soirée !
Une lecture haletante et effrénée sans avoir eu besoin d'une note de musique, ni d'un disc-jockey.
Tap-Tap prend la tête du Top 50 en détrônant le duo des années 80,
qui peut
désormais se faire oublier et gentiment retourner se coucher.
Oui ! Car ici, c'est bel et bien David Martin, le nouveau Maître du genre thriller psyc'horrifique.
Le vrai, l'unique conteur créatif d'une trame qui vaut milles mots au compteur
avec un style dramatique.
L'auteur possède une incroyable capacité à traiter un récit saccadé à travers sa plume subtile, sanglante et maîtrisée.
Et de surcroît, il sait parfaitement comment distiller le suspense à
travers sa narration imprévisible en se servant de son imagination
débordante.
Et il ne répond jamais complètement aux questions jusqu'à la dernière
page,
que son souci du détail rend le roman encore plus crédible en
dépit des incroyables situations présentées.
L'ensemble des chapitres nous tient en haleine, que chaque fois qu'une partie se termine ou commence par "Tap Tap", le lecteur s'accroche,
en sachant que quelque chose d'horrible est sur le point de se produire.
L'appel à la peur, ce n'est pas ce qui manque avec cette petite perle puisqu'il y en a... à la pelle !
Du point de départ jusqu'au dénouement final, l'intrigue est rondement
diabolique,
terriblement machiavélique avec notamment, des moments
effrayants et troublants.
David Martin détient une forme d'écriture simple, sans fioriture et percutante.
Par ailleurs, il dispose également un talent inné de mêler l'horreur avec de l'humour qui a
du mordant.
Les personnages sont crédibles, sombres et intéressants à la fois,
qu'on
ne peut s'empêcher de ressentir une gamme d'émotions en lisant.
Un succulent ouvrage bien saignant, visuel, des rebondissements qui vont vous étonner avec
une fin tordue et ahurissante.
Pour conclure, "Tap-Tap"
est une oeuvre d'une qualité rare et d'une densité incroyable,
rédigée
de main de maître par un auteur méconnu mais Ô combien fascinant et
brillant.
Un véritable page turner vampirique hautement recommandé !
Frissons et sueurs froides garantis !
Citation : "Les hommes, jadis, tapis dans leurs grottes, guettaient, à la tombée de
la nuit,
l'approche des bêtes sauvages. Cette peur est inscrite dans
nos gènes.
Nous en avons gardé, pour toujours, la nostalgie. Tout être
humain, au crépuscule,
frissonne sans s'en apercevoir.
Ensuite, il se
met au lit pour dévorer des histoires de monstres ou de vampires tout en
mangeant
du chocolat noir. Cette terreur ancestrale, il la recrée pour
lui seul. Il la souhaite, il l'appelle.
Moi, je propose de la
satisfaire. La bête qui gratte à votre porte, c'est moi."
vendredi 8 mars 2019
mardi 26 février 2019
~ Matthew J. Costello - La chose des profondeurs ~
Au fond des abysses, c'est le baptême de l'Horreur.
Auteur : Matthew J. Costello.
Roman : La chose des profondeurs
Date de publication : Septembre 1994
Genre : Fantastique
Nombre de pages : 368.
Résumé de quatrième de couverture :
Cela fait un drôle d'effet de s'apercevoir soudain que l'on appartient à une espèce en voie d'extinction...
Auteur : Matthew J. Costello.
Roman : La chose des profondeurs
Date de publication : Septembre 1994
Genre : Fantastique
Nombre de pages : 368.
Résumé de quatrième de couverture :
Cela fait un drôle d'effet de s'apercevoir soudain que l'on appartient à une espèce en voie d'extinction...
- On
sait que l'on a récemment découvert au fond des océans, près de sources
volcaniques,
des formes de vie inconnues.
Une mission océanographique
commet l'erreur de vouloir ramener à la surface l'un des étranges
vers
qui ont élu domicile dans ces gouffres sous-marins.
Lorsque
l'on retrouve le bateau, tous les passagers, sauf un, sont morts comme
dévorés de l'intérieur. Les sauveteurs ne se méfient pas de l'unique
survivant, ne se doutent pas que lui aussi est mort,
Chronique :
Ajoutez une quantité d'eaux salées de "Moby Dick", ainsi que des
nombreuses bestioles rampantes, gluantes et répugnantes qui ont du
mordant de "Les dents de la mer",
qui jaillissent de vos poitrines à la
façon des "Aliens" et ça donne un ensemble de résultat
très appétissant, un
bon goût de l'horreur croustillant qui se nomme : "La chose des
profondeurs" !
C'est ma toute première découverte et également, première lecture avec cet auteur,
C'est ma toute première découverte et également, première lecture avec cet auteur,
Matthew J. Costello.
L'auteur possède un style clair, net et précis en nous offrant un spectacle qui fait froid dans le dos.
L'intrigue est rondement bien menée, très énergique que les chapitres se succèdent à un
L'auteur possède un style clair, net et précis en nous offrant un spectacle qui fait froid dans le dos.
L'intrigue est rondement bien menée, très énergique que les chapitres se succèdent à un
rythme effréné sans laisser le moindre répit au lecteur.
La frayeur est palpable au fur et à mesure qu'on progresse dans le récit en compagnie
La frayeur est palpable au fur et à mesure qu'on progresse dans le récit en compagnie
des personnages hauts en couleur.
Les vers s'emparent des esprits et des âmes de tous ceux et celles qui entrent en contact avec eux et
Les vers s'emparent des esprits et des âmes de tous ceux et celles qui entrent en contact avec eux et
se propagent de manière exponentielle.
Matthew J. Costello ne fait aucune concession et s'amuse avec brio à jouer avec nos nerfs via
Matthew J. Costello ne fait aucune concession et s'amuse avec brio à jouer avec nos nerfs via
sa plume démentielle.
Les descriptions et les mises en situation évoquent une imagerie visuelle époustouflante.
La tension est omniprésente et les passages cauchemardesques se déplacent à une
Les descriptions et les mises en situation évoquent une imagerie visuelle époustouflante.
La tension est omniprésente et les passages cauchemardesques se déplacent à une
allure endiablée jusqu'à la touche finale haletante.
Une oeuvre horrifique de bonne facture et d'une admirable qualité, de quoi vous faire frémir !
En revanche, elle est conseillée aux anthelmophobes de s'abstenir !
Pour conclure, le romancier Matthew J. Costello est le Jules Verne de l'Horreur.
Puis en tant que lecteur, c'était un grand et bel honneur de découvrir la prose virtuose de ce conteur.
"La chose des profondeurs" est un succulent roman d'horreur bien juteux, trash et si délicieux
Une oeuvre horrifique de bonne facture et d'une admirable qualité, de quoi vous faire frémir !
En revanche, elle est conseillée aux anthelmophobes de s'abstenir !
Pour conclure, le romancier Matthew J. Costello est le Jules Verne de l'Horreur.
Puis en tant que lecteur, c'était un grand et bel honneur de découvrir la prose virtuose de ce conteur.
"La chose des profondeurs" est un succulent roman d'horreur bien juteux, trash et si délicieux
d'un auteur injustement méconnu mais Ô combien talentueux que je recommande à tous les
amateurs de science-fiction et de terreur !
Angoisses et frissons garantis !
Angoisses et frissons garantis !
Citation : "Nous
venons de l'océan. Tous les animaux terrestres ont évolué à partir
des premiers animaux marins. En chemin, nous nous sommes débarrassées
de certaines caractéristiques qui n'étaient plus utiles à notre survie.
Nous sommes constitués de soixante-dix pour cent d'eau, nous portons en
nous un océan salin. Toutefois, des dizaines de millions d'années de
sélection naturelle avaient modifié cet océan, transformé ce que nous
véhiculions dans nos veines."
dimanche 24 février 2019
~ Peter Straub - Ghost Story ou le fantôme de Milburn ~
Ce qui est foncièrement terrifiant, mauvais et sans la moindre once de bonté, c'est le Mal.
Auteur : Peter Straub.
Roman : Ghost Story ou le fantôme de Milburn
Date de publication : Octobre 1979 (SEGHERS) / Mars 1990 (Pocket Terreur)
Genre : Fantastique
Nombre de pages : 432 / 670.
Résumé de quatrième de couverture :
- Dans cette petite ville de la Nouvelle Orléans la lenteur de la vie quotidienne va peu à peu
faire place à l'horreur, et la menace qui plane sur les habitants semble se préciser de jour en jour.
- Les quatre vieux messieurs respectables passaient leurs soirées à se raconter de
fabuleuses histoires de fantômes.
Depuis la disparition d'un des membres de leur club dans des circonstances étranges,
ils se sentaient menacés; perdaient le sommeil:
ils allaient bientôt se trouver impliqués dans la plus hallucinante histoire de réincarnation
qui se puisse imaginer... (Pocket Terreur)
Chronique :
Un roman à la mécanique parfaite, d'une densité incroyable que rien n'est laissé au hasard,
puisque chaque détail compte.
Ce pavé est d'une richesse extraordinaire avec une intrigue très complexe.
Le roman est découpé en 3 parties :
les deux premières pourraient être indépendantes et pourraient se lire l'une sans l'autre,
chose dont je vous déconseille de faire, car les quelques éléments en question les relient.
Et la troisième partie résout enfin le puzzle.
Peter Straub raconte en flash-back l'histoire de Don Wanderley et de son frère David,
celle d'Eva Galli, la mort d'Edward Wanderley.
Tous les personnages principaux sont obsédés par une mort violente,
subite dans leur entourage quelques années auparavant.
Ces éléments sont évidemment liés et vont se recouper dans la dernière partie.
La première partie, celle de la Chowder Society, est pour moi la plus marquante, la mieux racontée. Elle est à la fois nostalgique et parfaite avec la mise en haleine pour la suite du roman.
C'est un livre dans le livre, il en a d'ailleurs fait une nouvelle dans un recueil collectif où
figurait entre autres son ami et complice de longue date : Stephen King.
Dans la deuxième partie, tout s'accélère.
Don Wanderley arrive à Millburn et essaie de comprendre les enjeux de la situation
qui devient cauchemardesque.
Le passage où Lewis Benedict a des hallucinations est absolument magnifique,
très mystérieux et ouvre à diverses interprétations.
C'est une des séquences les plus importantes du livre,
car elle marque le début du dénouement et donc de la 3ème partie.
Toutes les pièces du puzzle se mettent en place.
Il y a une quinzaine de personnages importants.
Tous les chapitres sont racontés à la troisième personne et ont pour principal protagoniste,
tour à tour, les 4 septuagénaires de la Chowder Society, Don wanderley l'écrivain trentenaire,
Freddy Robinson jeune agent d'assurance qui va enquêter sur les morts des animaux,
Peter Barnes adolescent qui va subir et lutter contre le danger, Stella Hawthorne femme de Ricky, Elmer Scales le fermier qui a découvert ses bêtes égorgées et qui va peu à peu,
perdre la raison et tomber dans une folie destructrice.
Tous ces personnages aussi différents les uns que les autres, sont définis avec précision et clarté,
ce qui les rend très denses.
Certains évènements sont racontés du point de vue de plusieurs personnages,
ce qui est très intéressant pour marquer la différence entre ce qui est réellement et ce que l'on perçoit.
Cet ouvrage me fait parfois penser à "Salem" ou aussi bien à "Bazaar" de Maître Stephen King,
pour sa façon de décrire une ville tranquille (en apparence),
avec tous ses petits secrets datant de quelques générations, ses histoires de "cocufiage",
ses vieilles rivalités, et qui va se retrouver isolée du monde.
La cité est tellement omniprésente dans le récit, qu'elle en devient un protagoniste, un rouage.
Il y a matière à faire une dizaine de livres tant les sous intrigues sont nombreuses et
les personnages bien écrits et décrits.
Tous ont peur, mais réagissent de manière différentes. Certains trop courageux ou inconscients,
vont affronter seul le danger, l'inconnu. D'autres plus intelligemment s'unissent, fuient,
ou s'arrêtent de vivre et ne repensent plus qu'à ce qu'ils ont vu ou cru voir.
Les scènes d'horreur sont écrites avec concision, nous épargnant des détails macabres et gores
mais allant à l'essentiel de suite pour laisser notre imaginaire faire son travail.
C'est d'ailleurs le thème principal du bouquin : l'imagination.
Peter Straub joue avec celles des lecteurs comme l'antagoniste joue avec celle des victimes.
L'auteur distille la peur au compte goutte durant tout le roman,
comme le méchant le fait durant toute la vie des protagonistes.
Tout le livre est construit sur notre imaginaire et démonte ainsi le mécanisme de la peur
produit par les lectures des classiques de l'épouvante ou la vision de films.
Une séquence clé se déroule d'ailleurs dans un cinéma pendant la projection de
"La nuit des mort-vivants", rendant ainsi un très bel hommage à George A. Romero.
Il boucle du même coup, la boucle des figures légendaires de l'horreur et du fantastiques :
mort-vivants, fantômes, vampires, loups garous, réincarnations, résurrections, hallucinations, prémonitions, manitous auxquels il faut ajouter, la connerie humaine personnifiée par Jim Hardie,
un ado un peu trop prétentieux et curieux et qui va déclencher pas mal de problèmes.
Une œuvre terrifiante, un livre-clé totalement efficace pour tout amateur de romans d'horreur
et d'épouvante. Un monument de la littérature Straubienne.
Un grand classique de la fin des années 70 que je vous recommande très fortement.
Citation : "Le monstre, c'est nous-mêmes."
Auteur : Peter Straub.
Roman : Ghost Story ou le fantôme de Milburn
Date de publication : Octobre 1979 (SEGHERS) / Mars 1990 (Pocket Terreur)
Genre : Fantastique
Nombre de pages : 432 / 670.
Résumé de quatrième de couverture :
- Dans cette petite ville de la Nouvelle Orléans la lenteur de la vie quotidienne va peu à peu
faire place à l'horreur, et la menace qui plane sur les habitants semble se préciser de jour en jour.
Les quatre vieux messieurs
respectables de la Showder Society,
qui passent leurs soirées à se
raconter d'extraordinaires histoires de fantômes perdent le sommeil et
se trouvent impliqués dans la plus extraordinaire affaire de
réincarnation qui se puisse imaginer. L'actrice Eva Galli qu'ils avaient
connue dans leur jeunesse et qui mourut dans leurs bras,
revient se
venger de la ville tout entière. Comment échapper à ce bain de sang, à
ces meurtres,
à ces disparitions, à ces crimes plus horribles les uns
que les autres,
dont la petite ville sous la neige est le macabre
décor ?
La clé de l'énigme ne sera livrée qu'aux toutes dernières pages et
l'explication sera des plus inattendues. (SEGHERS)
- Les quatre vieux messieurs respectables passaient leurs soirées à se raconter de
fabuleuses histoires de fantômes.
Depuis la disparition d'un des membres de leur club dans des circonstances étranges,
ils se sentaient menacés; perdaient le sommeil:
ils allaient bientôt se trouver impliqués dans la plus hallucinante histoire de réincarnation
qui se puisse imaginer... (Pocket Terreur)
Chronique :
Un roman à la mécanique parfaite, d'une densité incroyable que rien n'est laissé au hasard,
puisque chaque détail compte.
Ce pavé est d'une richesse extraordinaire avec une intrigue très complexe.
Le roman est découpé en 3 parties :
les deux premières pourraient être indépendantes et pourraient se lire l'une sans l'autre,
chose dont je vous déconseille de faire, car les quelques éléments en question les relient.
Et la troisième partie résout enfin le puzzle.
Peter Straub raconte en flash-back l'histoire de Don Wanderley et de son frère David,
celle d'Eva Galli, la mort d'Edward Wanderley.
Tous les personnages principaux sont obsédés par une mort violente,
subite dans leur entourage quelques années auparavant.
Ces éléments sont évidemment liés et vont se recouper dans la dernière partie.
La première partie, celle de la Chowder Society, est pour moi la plus marquante, la mieux racontée. Elle est à la fois nostalgique et parfaite avec la mise en haleine pour la suite du roman.
C'est un livre dans le livre, il en a d'ailleurs fait une nouvelle dans un recueil collectif où
figurait entre autres son ami et complice de longue date : Stephen King.
Dans la deuxième partie, tout s'accélère.
Don Wanderley arrive à Millburn et essaie de comprendre les enjeux de la situation
qui devient cauchemardesque.
Le passage où Lewis Benedict a des hallucinations est absolument magnifique,
très mystérieux et ouvre à diverses interprétations.
C'est une des séquences les plus importantes du livre,
car elle marque le début du dénouement et donc de la 3ème partie.
Toutes les pièces du puzzle se mettent en place.
Il y a une quinzaine de personnages importants.
Tous les chapitres sont racontés à la troisième personne et ont pour principal protagoniste,
tour à tour, les 4 septuagénaires de la Chowder Society, Don wanderley l'écrivain trentenaire,
Freddy Robinson jeune agent d'assurance qui va enquêter sur les morts des animaux,
Peter Barnes adolescent qui va subir et lutter contre le danger, Stella Hawthorne femme de Ricky, Elmer Scales le fermier qui a découvert ses bêtes égorgées et qui va peu à peu,
perdre la raison et tomber dans une folie destructrice.
Tous ces personnages aussi différents les uns que les autres, sont définis avec précision et clarté,
ce qui les rend très denses.
Certains évènements sont racontés du point de vue de plusieurs personnages,
ce qui est très intéressant pour marquer la différence entre ce qui est réellement et ce que l'on perçoit.
Cet ouvrage me fait parfois penser à "Salem" ou aussi bien à "Bazaar" de Maître Stephen King,
pour sa façon de décrire une ville tranquille (en apparence),
avec tous ses petits secrets datant de quelques générations, ses histoires de "cocufiage",
ses vieilles rivalités, et qui va se retrouver isolée du monde.
La cité est tellement omniprésente dans le récit, qu'elle en devient un protagoniste, un rouage.
Il y a matière à faire une dizaine de livres tant les sous intrigues sont nombreuses et
les personnages bien écrits et décrits.
Tous ont peur, mais réagissent de manière différentes. Certains trop courageux ou inconscients,
vont affronter seul le danger, l'inconnu. D'autres plus intelligemment s'unissent, fuient,
ou s'arrêtent de vivre et ne repensent plus qu'à ce qu'ils ont vu ou cru voir.
Les scènes d'horreur sont écrites avec concision, nous épargnant des détails macabres et gores
mais allant à l'essentiel de suite pour laisser notre imaginaire faire son travail.
C'est d'ailleurs le thème principal du bouquin : l'imagination.
Peter Straub joue avec celles des lecteurs comme l'antagoniste joue avec celle des victimes.
L'auteur distille la peur au compte goutte durant tout le roman,
comme le méchant le fait durant toute la vie des protagonistes.
Tout le livre est construit sur notre imaginaire et démonte ainsi le mécanisme de la peur
produit par les lectures des classiques de l'épouvante ou la vision de films.
Une séquence clé se déroule d'ailleurs dans un cinéma pendant la projection de
"La nuit des mort-vivants", rendant ainsi un très bel hommage à George A. Romero.
Il boucle du même coup, la boucle des figures légendaires de l'horreur et du fantastiques :
mort-vivants, fantômes, vampires, loups garous, réincarnations, résurrections, hallucinations, prémonitions, manitous auxquels il faut ajouter, la connerie humaine personnifiée par Jim Hardie,
un ado un peu trop prétentieux et curieux et qui va déclencher pas mal de problèmes.
Une œuvre terrifiante, un livre-clé totalement efficace pour tout amateur de romans d'horreur
et d'épouvante. Un monument de la littérature Straubienne.
Un grand classique de la fin des années 70 que je vous recommande très fortement.
Citation : "Le monstre, c'est nous-mêmes."
vendredi 22 février 2019
~ Guillaume Vaumartin - Stugert ~
Le digne héritier de "Créatures" avec une nouvelle menace encore plus terrible.
Auteur : Guillaume Vaumartin.
Roman : Stugert (Créatures tome 2)
Date de publication : Octobre 2017.
Genre : Fantastique / Science Fiction
Nombre de pages : 367.
Résumé de quatrième de couverture :
- Chinatown, New York.
Stugert traque les créatures et les extermine.
Il l’a promis à son frère d’armes, Jimmy, mort au combat.
Il ne trouvera le repos qu’une fois sa mission accomplie.
Accompagné de Sue, il fera la connaissance d’un jeune homme du nom de Delmott, un hacker.
Ce dernier leur proposera son aide.
Il aura également affaire à Wang, un Chinois travaillant pour la mafia locale.
Les créatures veulent sa peau, autant que lui la leur, mais il découvrira qu’elles ne sont pas les seules.
L’ennemi est partout et Stugert devra garder la tête froide pour ne pas la perdre.
Chronique :
Il aura quand même fallu attendre 3 ans pour pouvoir enfin avoir une suite directe à "Créatures".
Néanmoins, l'attente avec ce nouveau "Stugert" en aura valu la chandelle.
Avec ce nouveau petit bijou, l'auteur indépendant gagne de plus en plus en maturité,
que ce soit au niveau de l'écrit ou aussi bien, de la trame du récit.
Quand l'écriture rencontre le talent, ça ne peut faire que des étincelles.
C'est ce qu'on appelle de l'art de la littérature.
Les nouveaux personnages de ce second volume, tel que Sue, Delmott, Wang ou aussi bien Kuan-Ti,
sont nettement mieux fouillés et notamment très bien retranscrits à travers ces pages.
Guillaume Vaumartin a fourni un travail de fourmi et avec brio pour mieux nous conter
une autre histoire encore plus efficace que son précédent ouvrage.
"Créatures" (tome 1) est une oeuvre qui sonnait à mi chemin entre l'horreur et la science-fiction.
Quant à cette suite, "Stugert",
elle mêle les deux genres mais en plus science-fictionesque avec en supplément,
un aspect thrillerifique.
Les passages sanglants, ainsi que les scènes d'action sont encore plus omniprésent que sur le
sombre et Ô combien somptueux roman "Créatures". Quel exploit !
L'ensemble de la trame démarre sous les chapeaux de roues a une vitesse fulgurante et sans
aucun temps mort, que l'on refuse catégoriquement de lâcher une seule fois le bouquin des mains,
car on est directement imprégné dans l'aventure Vaumartienne.
Ce fut également un plaisir de retrouver le fantôme de Jimmy Rampart (personnage présent dans
le précédent tome) qui occupe à présent les pensées de son ami et frère d'arme Stugert,
héros principal de ce nouveau chapitre.
Par ici, les clins d'oeil et les références ne manquent pas à l'appel.
Hommage au grand Maître Stephen King, en passant par la série culte The X-Files,
à Rambo et j'en passe.
Vous avez aimé haïr le redoutable être qu'était Kron dans le précédent volet ?
Alors vous aimerez sans aucun doute un nouvel affrontement avec le terrible Wellander,
autre ennemi Vaumartien, sur ce nouveau volume !
Pour conclure, puisque la dernière ligne droite se termine sans aucune fin en nous laissant
sur notre faim, le romancier de talent nous fait clairement comprendre qu'il y aura bel et bien
encore une autre suite, en espérant pouvoir retrouver une nouvelle fois le couple attachant
que sont Tom et Noémie.
S'agira-t-il d'une trilogie ou bien d'une longue saga en plusieurs volumes ?
Seul le génie Guillaume Vaumartin connaît secrètement la réponse à cette question.
A suivre...
Je vous recommande très fortement cette nouvelle petite perle Vaumartienne
sang pour cent thriller/science-fiction !
Citation : "Il nous arrive à certains moments de notre vie de nous trouver face à un croisement sans
savoir quelle direction prendre. Le choix peut s'avérer mortel si ce n'est pas le bon.
Quoi qu'il en soit, il faut en faire un."
Site de l'éditions Sudarènes : http://www.sudarenes.com/ecrivain_29.htm
Auteur : Guillaume Vaumartin.
Roman : Stugert (Créatures tome 2)
Date de publication : Octobre 2017.
Genre : Fantastique / Science Fiction
Nombre de pages : 367.
Résumé de quatrième de couverture :
- Chinatown, New York.
Stugert traque les créatures et les extermine.
Il l’a promis à son frère d’armes, Jimmy, mort au combat.
Il ne trouvera le repos qu’une fois sa mission accomplie.
Accompagné de Sue, il fera la connaissance d’un jeune homme du nom de Delmott, un hacker.
Ce dernier leur proposera son aide.
Il aura également affaire à Wang, un Chinois travaillant pour la mafia locale.
Les créatures veulent sa peau, autant que lui la leur, mais il découvrira qu’elles ne sont pas les seules.
L’ennemi est partout et Stugert devra garder la tête froide pour ne pas la perdre.
Chronique :
Il aura quand même fallu attendre 3 ans pour pouvoir enfin avoir une suite directe à "Créatures".
Néanmoins, l'attente avec ce nouveau "Stugert" en aura valu la chandelle.
Avec ce nouveau petit bijou, l'auteur indépendant gagne de plus en plus en maturité,
que ce soit au niveau de l'écrit ou aussi bien, de la trame du récit.
Quand l'écriture rencontre le talent, ça ne peut faire que des étincelles.
C'est ce qu'on appelle de l'art de la littérature.
Les nouveaux personnages de ce second volume, tel que Sue, Delmott, Wang ou aussi bien Kuan-Ti,
sont nettement mieux fouillés et notamment très bien retranscrits à travers ces pages.
Guillaume Vaumartin a fourni un travail de fourmi et avec brio pour mieux nous conter
une autre histoire encore plus efficace que son précédent ouvrage.
"Créatures" (tome 1) est une oeuvre qui sonnait à mi chemin entre l'horreur et la science-fiction.
Quant à cette suite, "Stugert",
elle mêle les deux genres mais en plus science-fictionesque avec en supplément,
un aspect thrillerifique.
Les passages sanglants, ainsi que les scènes d'action sont encore plus omniprésent que sur le
sombre et Ô combien somptueux roman "Créatures". Quel exploit !
L'ensemble de la trame démarre sous les chapeaux de roues a une vitesse fulgurante et sans
aucun temps mort, que l'on refuse catégoriquement de lâcher une seule fois le bouquin des mains,
car on est directement imprégné dans l'aventure Vaumartienne.
Ce fut également un plaisir de retrouver le fantôme de Jimmy Rampart (personnage présent dans
le précédent tome) qui occupe à présent les pensées de son ami et frère d'arme Stugert,
héros principal de ce nouveau chapitre.
Par ici, les clins d'oeil et les références ne manquent pas à l'appel.
Hommage au grand Maître Stephen King, en passant par la série culte The X-Files,
à Rambo et j'en passe.
Vous avez aimé haïr le redoutable être qu'était Kron dans le précédent volet ?
Alors vous aimerez sans aucun doute un nouvel affrontement avec le terrible Wellander,
autre ennemi Vaumartien, sur ce nouveau volume !
Pour conclure, puisque la dernière ligne droite se termine sans aucune fin en nous laissant
sur notre faim, le romancier de talent nous fait clairement comprendre qu'il y aura bel et bien
encore une autre suite, en espérant pouvoir retrouver une nouvelle fois le couple attachant
que sont Tom et Noémie.
S'agira-t-il d'une trilogie ou bien d'une longue saga en plusieurs volumes ?
Seul le génie Guillaume Vaumartin connaît secrètement la réponse à cette question.
A suivre...
Je vous recommande très fortement cette nouvelle petite perle Vaumartienne
sang pour cent thriller/science-fiction !
Citation : "Il nous arrive à certains moments de notre vie de nous trouver face à un croisement sans
savoir quelle direction prendre. Le choix peut s'avérer mortel si ce n'est pas le bon.
Quoi qu'il en soit, il faut en faire un."
Site de l'éditions Sudarènes : http://www.sudarenes.com/ecrivain_29.htm
mardi 19 février 2019
~ Guillaume Vaumartin - Créatures ~
La Bête est non seulement invisible, mais elle peut aussi faire preuve d'une redoutable férocité.
Auteur : Guillaume Vaumartin.
Roman : Créatures
Date de publication : Mars 2014.
Genre : Fantastique.
Nombre de pages : 340.
Résumé de quatrième de couverture :
Chronique :
Ce fut le premier roman de Guillaume Vaumartin que j'ai lu et entamé d'une traite,
sans interruption et sans connaître la moindre déception tout au long du livre.
C'est un auteur qui a quand même le grand mérite d'être reconnu par ses pairs pour
son travail remarquable en tant que romancier.
On s'y prend très vite dans l'intrigue (oui, dès le premier meurtre) de par son écriture fluide
et redoutablement efficace qu'au final,
on a du mal à lâcher le bouquin tellement il se lit avec une facilité déconcertante,
et qu'on le dévore page après page d'une manière fulgurante jusqu'au bout de la dernière ligne.
Par ailleurs, j'ai retrouvé pas mal de petit clins d'oeil à mon très cher conteur favori, à savoir :
Maître Stephen, Ô Maître King, Ô Stephen King, que l'auteur prometteur, Guillaume Vaumartin,
qui à travers sa plume de tueur, lui a rendu un très bel hommage sans nous induire en erreur.
Oh et puis quelle joie d'avoir pu lire un petit bout d'extrait de dialogue d'un des épisodes phares de
la série culte The X-Files, dont je tairais le nom pour ne pas gâcher l'effet de surprise à
ceux et celles qui n'ont pas encore eu l'occasion de lire ce succulent
petit pavé sanglant qu'est "Créatures".
Dans ce récit, on retrouve parfois un aspect "série B" bien gore,
mêlé avec une bonne dose de science-fiction, de fantastique et notamment du thriller.
L'humour est même au rendez-vous dans cet ouvrage !
Littérairement parlant, il est à mi-chemin entre Stephen King pour la narration et
"The X-files" pour... oui, les extra-terrestres.
Le dénouement final du roman m'avait laissé sur ma faim,
ce qu'il laisse présager une suite des aventures du trio face à ces créatures qui j'espère,
aboutira dans le temps futur.
Chapeau bas à cet auteur au talent hors-pair et remarquablement renversant.
Désormais, je vais pouvoir poursuivre et me rabattre de près sur ses autres oeuvres.
Je vous le recommande. Il vaut absolument le détour !
Citation : "Quand un homme a vraiment peur de vous, vous en faites ce que vous voulez.
Il devient un vrai pantin."
Site de l'éditions Sudarènes : http://www.sudarenes.com/ecrivain_29.htm
Auteur : Guillaume Vaumartin.
Roman : Créatures
Date de publication : Mars 2014.
Genre : Fantastique.
Nombre de pages : 340.
Résumé de quatrième de couverture :
- Le docteur Richard a tout pour être heureux, un bon job, une femme qui partage sa vie, des amis.
Jusqu’au jour où une bête féroce à la faculté de se rendre invisible le choisit pour proie.
Sa vie sera en partie détruite.
Il mènera l’enquête pour en savoir plus sur ce prédateur et surtout pour y échapper.
Il devra également faire face à une organisation secrète menée par une race extra-terrestre
qui enverra deux de ses émissaires, deux humains à leurs bottes, d’anciens soldats, pour l'espionner.
L’un de ces deux hommes se liera d’amitié avec lui et ensemble ils lutteront non seulement pour leur vie, mais aussi pour le reste de l'humanité.
Jusqu’au jour où une bête féroce à la faculté de se rendre invisible le choisit pour proie.
Sa vie sera en partie détruite.
Il mènera l’enquête pour en savoir plus sur ce prédateur et surtout pour y échapper.
Il devra également faire face à une organisation secrète menée par une race extra-terrestre
qui enverra deux de ses émissaires, deux humains à leurs bottes, d’anciens soldats, pour l'espionner.
L’un de ces deux hommes se liera d’amitié avec lui et ensemble ils lutteront non seulement pour leur vie, mais aussi pour le reste de l'humanité.
Ce fut le premier roman de Guillaume Vaumartin que j'ai lu et entamé d'une traite,
sans interruption et sans connaître la moindre déception tout au long du livre.
C'est un auteur qui a quand même le grand mérite d'être reconnu par ses pairs pour
son travail remarquable en tant que romancier.
On s'y prend très vite dans l'intrigue (oui, dès le premier meurtre) de par son écriture fluide
et redoutablement efficace qu'au final,
on a du mal à lâcher le bouquin tellement il se lit avec une facilité déconcertante,
et qu'on le dévore page après page d'une manière fulgurante jusqu'au bout de la dernière ligne.
Par ailleurs, j'ai retrouvé pas mal de petit clins d'oeil à mon très cher conteur favori, à savoir :
Maître Stephen, Ô Maître King, Ô Stephen King, que l'auteur prometteur, Guillaume Vaumartin,
qui à travers sa plume de tueur, lui a rendu un très bel hommage sans nous induire en erreur.
Oh et puis quelle joie d'avoir pu lire un petit bout d'extrait de dialogue d'un des épisodes phares de
la série culte The X-Files, dont je tairais le nom pour ne pas gâcher l'effet de surprise à
ceux et celles qui n'ont pas encore eu l'occasion de lire ce succulent
petit pavé sanglant qu'est "Créatures".
Dans ce récit, on retrouve parfois un aspect "série B" bien gore,
mêlé avec une bonne dose de science-fiction, de fantastique et notamment du thriller.
L'humour est même au rendez-vous dans cet ouvrage !
Littérairement parlant, il est à mi-chemin entre Stephen King pour la narration et
"The X-files" pour... oui, les extra-terrestres.
Le dénouement final du roman m'avait laissé sur ma faim,
ce qu'il laisse présager une suite des aventures du trio face à ces créatures qui j'espère,
aboutira dans le temps futur.
Chapeau bas à cet auteur au talent hors-pair et remarquablement renversant.
Désormais, je vais pouvoir poursuivre et me rabattre de près sur ses autres oeuvres.
Je vous le recommande. Il vaut absolument le détour !
Citation : "Quand un homme a vraiment peur de vous, vous en faites ce que vous voulez.
Il devient un vrai pantin."
Site de l'éditions Sudarènes : http://www.sudarenes.com/ecrivain_29.htm
lundi 18 février 2019
~ Arnaud Codeville - Parasite ~
La Terreur à un nom : Parasite
Auteur : Arnaud Codeville.
Roman : Parasite.
Date de publication : Janvier 2019.
Genre : Terreur / Fantastique.
Nombre de pages : 412.
Résumé de quatrième de couverture :
- Au cœur de la forêt de Raismes, près de Valenciennes, quatre adolescents repèrent un monastère en ruine. Ils y découvrent une crypte condamnée, où résonnent encore les pratiques d’un culte païen.
Ils ne sont pas seuls.
Tapie dans l’ombre, une menace les guette…
Chronique :
Après le premier balbutiement de "La Tour de Sélénite" et du magistral "1974" (Plume d'or 2016), l'enfant terrible de la littérature d'horreur et du fantastique, originaire du Nord, fait désormais son grand retour bien saignant avec son 3ème roman épouvantablement accrocheur.
L'auteur gagne de plus en plus en maturité, d'une manière efficace et sans fioriture, en terme d'écriture.
"Parasite" est un excellent joyau d'horreur de très bonne facture, servi avec une qualité folle et indéniable.
Une fois lancé dans la lecture, on ne lâche plus le bouquin, qu'on n'en dort plus de la nuit jusqu'à l'ultime révélation fatalement surprenante.
La trame est diablement savoureuse, avec notamment des personnages crédibles et attachants.
Et l'écrit est d'une subtilité redoutablement démoniaque avec en plus, les cris de terreur !
Par ailleurs, quand on apprécie en lisant chacun de ses mots saisissants, forcément on aime férocement ses terribles maux angoissants.
La nouvelle génération Mastertonienne et Kingienne peuvent désormais trembler d'effroi !
Car Arnaud Codeville est bel et bien un conteur plus que prometteur, qui sait habilement distillé nos peurs les plus profondes avec une bonne dose d'intensité à travers sa plume acérée et sanguinolente.
En conclusion, "Parasite" est un pur bijou horrifico-fantastique mais aussi, un véritable page-turner addictif.
Je vous recommande sans aucune réserve ce véritable chef-d'oeuvre brûlant et qui a du mordant.
Une pépite de frayeur démentielle qui vous tiendra éveillée !
Nuit blanche, cauchemar et frisson garantis !
Citation : "On ne sait rien de la vie, encore moins de la mort, quand on a six ans."
Site de l'auteur : https://www.arnaudcodeville.fr/
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